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En 1955, à New York, Harry R. Angel (Mickey Rourke), détective privé à la petite semaine, accepte l'offre d'un étrange employeur (Robert De Niro). Moyennant une importante somme d'argent, il est chargé de retrouver un ancien crooner disparu mystérieusement en 1943. Son enquête le conduit jusqu'à la Nouvelle-Orléans, chez les adeptes de rites vaudous et de sciences occultes. Plus Harry avance dans ses recherches, plus les têtes tombent?

Le septième film d'Alan Parker n'est pas le moins réussi. Pour la première fois, ce cinéaste majeur des années 80 ("Midnight Express", "Fame", "Birdy") s'est laissé tenter par le mystère et l'inconnu. Inspiré par le roman de William Hjortsberg "Falling Angel", le réalisateur a lui-même écrit le scénario de cette ?uvre qui commence comme un classique du film noir des années 50, puis dérive vers le fantastique et l'horreur. Mickey Rourke, alors au sommet de sa carrière, était l'interprète parfait pour incarner ce détective désabusé. Chaque confrontation avec Robert De Niro est un moment d'anthologie. Dérangeant, passionnant et studieux, "Angel Heart" avait tout de l'exercice de style. Le noir et blanc se mêle à la couleur, les images symboliques abondent et l'atmosphère s'alourdit dangereusement à l'approche d'un dénouement inattendu et apocalyptique.

Résumé

Où et comment ça a commencé? on l'ignore. On ignore ce qui s'est passé, mais du jour au lendemain le monde est devenu un véritable cauchemar aux proportions apocalypstiques. La planète a été frappée d'une pandémie inexplicable, impensable et mortelle - et les morts ne meurent plus. Continuellement en quête de leur prochain répas et assoiffés de chair fraîche, des zombies pourchassent inlassablement les quelques survivants.

Taille de l'écran (POUCES) 22

Taille de l'écran (cm) 56

Technologie TN + Film

Format wide

Luminance (cd/m2) 250

Contraste 10 000 : 1

Angle de vision 176° (horizontal) / 170° (vertical)

Temps de réponse (ms) 2

Résolution (px) 1680 x 1050

Nombre de couleurs d'affichage (millions) 16.2